Trieste, le rendez-vous des copains
29-30 Septembre
Une escapade en Istrie entre le vert des vignes et le turquoise de la mer Adriatique, une dernière pause dans le petit port de Piran aux allures vénitiennes puis nous quittons la Slovénie pour rejoindre l’Italie du Nord...qui sera la terre de nos premières retrouvailles.
Luttant contre de fortes bourrasques, nous arrivons à Trieste où, déjà, nous nous laissons bercer par le chant mélodieux des « ciao », nous redécouvrons un goût, celui des espressos serrés à l’italienne...et pourtant, un peu étrangement, nous découvrons une ville aux allures autrichiennes...
Mais à Trieste, c’est un sentiment qui nous porte celui des retrouvailles !
Déjà un an que nous n’avons pas vu Tom et déjà nous découvrons son nouveau terrain de jeu ...et nous voilà au pied de falaises calcaires patinées tachant de retrouver des sensations un peu oubliées.
« L’escalade c’est comme le vélo ça ne s’oublie pas » nous clame t-il joyeusement...Ce jour là, pas de performances, juste le plaisir de papoter entre amis une main sur le rocher, le regard tourné vers la mer à détailler les manœuvres des voiliers.
Et puis comme pour illustré le dicton, qui prédit que plus on est de fou plus on rit...À l’heure de l’Apperitivo, voilà Louna (qui a bien grandie) Hélène et Stéphane qui nous rejoignent pour partager notre vie de nomades pour quelques jours.
Un peu parce qu’il pleut, beaucoup parce qu’il est bon de tous se revoir...nous savourons ces retrouvailles autour d’un bon plat de pâtes...et déjà le calme du salon de Tom est remplacé par les rires joyeux des copains !
Quelle sont chouettes toutes ces retrouvailles !!!
Une escapade en Istrie entre le vert des vignes et le turquoise de la mer Adriatique, une dernière pause dans le petit port de Piran aux allures vénitiennes puis nous quittons la Slovénie pour rejoindre l’Italie du Nord...qui sera la terre de nos premières retrouvailles.
Luttant contre de fortes bourrasques, nous arrivons à Trieste où, déjà, nous nous laissons bercer par le chant mélodieux des « ciao », nous redécouvrons un goût, celui des espressos serrés à l’italienne...et pourtant, un peu étrangement, nous découvrons une ville aux allures autrichiennes...
Mais à Trieste, c’est un sentiment qui nous porte celui des retrouvailles !
Déjà un an que nous n’avons pas vu Tom et déjà nous découvrons son nouveau terrain de jeu ...et nous voilà au pied de falaises calcaires patinées tachant de retrouver des sensations un peu oubliées.
« L’escalade c’est comme le vélo ça ne s’oublie pas » nous clame t-il joyeusement...Ce jour là, pas de performances, juste le plaisir de papoter entre amis une main sur le rocher, le regard tourné vers la mer à détailler les manœuvres des voiliers.
Et puis comme pour illustré le dicton, qui prédit que plus on est de fou plus on rit...À l’heure de l’Apperitivo, voilà Louna (qui a bien grandie) Hélène et Stéphane qui nous rejoignent pour partager notre vie de nomades pour quelques jours.
Un peu parce qu’il pleut, beaucoup parce qu’il est bon de tous se revoir...nous savourons ces retrouvailles autour d’un bon plat de pâtes...et déjà le calme du salon de Tom est remplacé par les rires joyeux des copains !
Quelle sont chouettes toutes ces retrouvailles !!!
Entre Terre et Mer
1-6 octobre 18
Déjà il est temps de quitter Tom !
Quelques kilomètres chaotiques pour s’échapper de Trieste et de son agitation, quelques réglages pour ajuster tous les bagages sur les vélos de locations, quelques essais pour transformer le siège bébé en nid douillet pour la sieste de Louna...et nous voilà partis tous les cinq en direction de Venise.
Très vite le paysage trop urbain de Trieste s’estompe et nous trouvons le chemin de la lagune ...nous pédalons entre mer et terre, louvoyant dans cette dentelle terrestre sculptée par la mer...au loin les sommets des dolomites déjà poudrées par les premières neiges.
Une odeur, celle de l’eau salée qui va nous accompagner jusqu’à Venise.
Un bruit, celui des jacassements des mouettes qui suivent notre pérégrination.
Une lumière, celle du soleil d’automne qui sublime une ultime fois cette nature qui déjà se prépare à la morsure de l’hiver...
Une petite voix, celle de Louna qui réclame une dernière histoire...et nous voilà tous les cinq à pédaler aux rythmes des aventures du petit Léo.
Enfin, longeant un dernier canal jusqu’à Punta Sabbioni, nous apercevons le Campanile de la piazza San Marco, et c’est en Vaporetto que nous arrivons à Venise.
À Venise, déjà la magie opère et nous nous laissons aper par le dédales des ruelles et des canaux...à la recherche d’une Gelatie.
À Venise, nous ne cessons d’admirer cette architecture unique, ces façades qui prennent naissances dans les canaux...et nous nous réjouissons de pouvoir admirer une fois encore cette si belle ville.
Alors que ces quelques journées ensemble se sont écoulées trop vite...nous savourons ces dernières soirées en nous imprégnant de l’ambiance du quartier de Cannaragio
Une couleur, celle des Campari Spritz que nous sirotons le long du canal fondamenta de la misericordia pour célébrer les 200km de Steph Hélène et Louna, pour fêter ces retrouvailles, pour célébrer les projets à venir...
Déjà il est temps de quitter Tom !
Quelques kilomètres chaotiques pour s’échapper de Trieste et de son agitation, quelques réglages pour ajuster tous les bagages sur les vélos de locations, quelques essais pour transformer le siège bébé en nid douillet pour la sieste de Louna...et nous voilà partis tous les cinq en direction de Venise.
Très vite le paysage trop urbain de Trieste s’estompe et nous trouvons le chemin de la lagune ...nous pédalons entre mer et terre, louvoyant dans cette dentelle terrestre sculptée par la mer...au loin les sommets des dolomites déjà poudrées par les premières neiges.
Une odeur, celle de l’eau salée qui va nous accompagner jusqu’à Venise.
Un bruit, celui des jacassements des mouettes qui suivent notre pérégrination.
Une lumière, celle du soleil d’automne qui sublime une ultime fois cette nature qui déjà se prépare à la morsure de l’hiver...
Une petite voix, celle de Louna qui réclame une dernière histoire...et nous voilà tous les cinq à pédaler aux rythmes des aventures du petit Léo.
Enfin, longeant un dernier canal jusqu’à Punta Sabbioni, nous apercevons le Campanile de la piazza San Marco, et c’est en Vaporetto que nous arrivons à Venise.
À Venise, déjà la magie opère et nous nous laissons aper par le dédales des ruelles et des canaux...à la recherche d’une Gelatie.
À Venise, nous ne cessons d’admirer cette architecture unique, ces façades qui prennent naissances dans les canaux...et nous nous réjouissons de pouvoir admirer une fois encore cette si belle ville.
Alors que ces quelques journées ensemble se sont écoulées trop vite...nous savourons ces dernières soirées en nous imprégnant de l’ambiance du quartier de Cannaragio
Une couleur, celle des Campari Spritz que nous sirotons le long du canal fondamenta de la misericordia pour célébrer les 200km de Steph Hélène et Louna, pour fêter ces retrouvailles, pour célébrer les projets à venir...
Petit détour dans les Dolomites
7-12 octobre
De nouvelles retrouvailles nous attendent déjà...dans le Tyrol du Sud. En chemin nous restons sans voix devant la finesse des sculptures de marbre de San Antonio de Padoue...en chemin nous relirons les verres de Shakespeare perché sur le balcon de Juliette à Vérone...puis en chemin nous redécouvrons le lac de Garde et ses reflets azurés.
Ces dernières journées, l’automne s’installe petit à petit dans notre quotidien et nous retrouvons les atmosphères énigmatiques des brumes matinales, nous redécouvrons une sensation celle du le froid.
Entre vignes et vergers nous nous dirigeons vers les premiers sommets qui se dressent fièrement à l’horizon...ces dernières journées de vélo seront encore associées à une odeur...celle des innombrables pommes qui font la fierté des agriculteurs de la région.
Il y a presque un an, sur les sentiers du Népal, nous rencontrions Christine et Daniel...
Il y a presque un an nous nous hissions au sommet d’Island Peak avec Daniel seulement, Christine souffrant de l’altitude.
Les retrouvailles sont chaleureuses, tant de choses à se raconter, tant de photos à leur montrer!
Ce week-end là, Tornado et Zebulon se reposeront alors que Christine et Daniel nous ferons découvrir leur spectaculaire terrain de jeu : les Dolomites.
Les Dolomites : un rampart, les premiers sommets effilées, presque comme ciselées se dressent devant nous...avec des allures presque inaccessibles. Pourtant au programme de ce week-end ce sera randonnée et via Ferrata pour se hisser tout en haut !
Presque un an après nous prenons notre revanche et nous foulons nos premiers sommets ensemble, tous les quatre ! L
De nouvelles retrouvailles nous attendent déjà...dans le Tyrol du Sud. En chemin nous restons sans voix devant la finesse des sculptures de marbre de San Antonio de Padoue...en chemin nous relirons les verres de Shakespeare perché sur le balcon de Juliette à Vérone...puis en chemin nous redécouvrons le lac de Garde et ses reflets azurés.
Ces dernières journées, l’automne s’installe petit à petit dans notre quotidien et nous retrouvons les atmosphères énigmatiques des brumes matinales, nous redécouvrons une sensation celle du le froid.
Entre vignes et vergers nous nous dirigeons vers les premiers sommets qui se dressent fièrement à l’horizon...ces dernières journées de vélo seront encore associées à une odeur...celle des innombrables pommes qui font la fierté des agriculteurs de la région.
Il y a presque un an, sur les sentiers du Népal, nous rencontrions Christine et Daniel...
Il y a presque un an nous nous hissions au sommet d’Island Peak avec Daniel seulement, Christine souffrant de l’altitude.
Les retrouvailles sont chaleureuses, tant de choses à se raconter, tant de photos à leur montrer!
Ce week-end là, Tornado et Zebulon se reposeront alors que Christine et Daniel nous ferons découvrir leur spectaculaire terrain de jeu : les Dolomites.
Les Dolomites : un rampart, les premiers sommets effilées, presque comme ciselées se dressent devant nous...avec des allures presque inaccessibles. Pourtant au programme de ce week-end ce sera randonnée et via Ferrata pour se hisser tout en haut !
Presque un an après nous prenons notre revanche et nous foulons nos premiers sommets ensemble, tous les quatre ! L
Et voilà venu le temps dans ce Blog de créer une dernière page pour le Mot de la fin...
La dernière ligne droite
15-22 octobre
Parce que toute chose a une fin, parce que tout rêve a un but ... ce lundi 15 octobre, alors que nous promettons à Christine et Daniel de revenir les voir, nous reprenons la route pour enfin rentrer en France.
Cet ultime passage de frontière devient une réalité dans notre parcours et nous réalisons tout doucement que dans une semaine nous seront au pied d'une montagne si familière ; le Mont Blanc.
Pour cette derniere ligne droite, nous ne regretterons rien, nous ne nous épargnerons aucun effort, nous passerons par les montagnes et nous allons nous offrir des grands cols renommés pour les cyclistes.
Première étape, le col du Stelvio et ses 48 virages...Au sommets...alors que nous arrivons sous le grésille, nous croisons des skieurs! L’hiver pointerait il le bout de son nez ? Hâtons nous...une épée de Damoclès au dessus de nos têtes...nous pédalons en direction du Col du grand Saint Bernard.
Mais au petit matin, un petit WhatsApp bienveillant nous informe que le col vient de fermer...
L’épée nous est donc tombée sur la tête, mais rien ne nous gâchera notre dernière ligne droite...c’est à vélos que nous rentrerons au pays et déjà nous bifurquons vers le Col du Simplon notre unique alternative pour rejoindre la Suisse...Une bonne grimpette, une traversée de la Suisse à toute allure...et malgré le froid qui s’installe de plus en plus...le dimanche matin c’est émus que nous nous élançons dans l’ascension du col de Forclaz où les premières retrouvailles avec la famille nous attendent.
Après 409 jours, qu’il est bon d’enfin s’embrasser !!
Puis, alors que nous gravissons notre dernier col (celui des Grands Montets), les Grandes Jorasses, les Drus, la Verte, le Goûter, ...etc, et enfin le Mont Blanc s’offrent à nos regards.
Les plus belles montagnes du monde ? Peut-être... mais surtout celles qui ont notre affection, celles qui évoquent nos racines et, observant le Mont Blanc, enfin nous réalisons que nous sommes de retour dans notre pays...
A Saint Gervais, c’est un vrai sentiment de fierté et de bonheur celui des retrouvailles qui nous envahissent alors que nous franchissons la ligne “ARRIVÉE”.
Parce que toute chose a une fin, parce que tout rêve a un but ... ce lundi 15 octobre, alors que nous promettons à Christine et Daniel de revenir les voir, nous reprenons la route pour enfin rentrer en France.
Cet ultime passage de frontière devient une réalité dans notre parcours et nous réalisons tout doucement que dans une semaine nous seront au pied d'une montagne si familière ; le Mont Blanc.
Pour cette derniere ligne droite, nous ne regretterons rien, nous ne nous épargnerons aucun effort, nous passerons par les montagnes et nous allons nous offrir des grands cols renommés pour les cyclistes.
Première étape, le col du Stelvio et ses 48 virages...Au sommets...alors que nous arrivons sous le grésille, nous croisons des skieurs! L’hiver pointerait il le bout de son nez ? Hâtons nous...une épée de Damoclès au dessus de nos têtes...nous pédalons en direction du Col du grand Saint Bernard.
Mais au petit matin, un petit WhatsApp bienveillant nous informe que le col vient de fermer...
L’épée nous est donc tombée sur la tête, mais rien ne nous gâchera notre dernière ligne droite...c’est à vélos que nous rentrerons au pays et déjà nous bifurquons vers le Col du Simplon notre unique alternative pour rejoindre la Suisse...Une bonne grimpette, une traversée de la Suisse à toute allure...et malgré le froid qui s’installe de plus en plus...le dimanche matin c’est émus que nous nous élançons dans l’ascension du col de Forclaz où les premières retrouvailles avec la famille nous attendent.
Après 409 jours, qu’il est bon d’enfin s’embrasser !!
Puis, alors que nous gravissons notre dernier col (celui des Grands Montets), les Grandes Jorasses, les Drus, la Verte, le Goûter, ...etc, et enfin le Mont Blanc s’offrent à nos regards.
Les plus belles montagnes du monde ? Peut-être... mais surtout celles qui ont notre affection, celles qui évoquent nos racines et, observant le Mont Blanc, enfin nous réalisons que nous sommes de retour dans notre pays...
A Saint Gervais, c’est un vrai sentiment de fierté et de bonheur celui des retrouvailles qui nous envahissent alors que nous franchissons la ligne “ARRIVÉE”.