Point de depart
Après plusieurs mois de voyage en Inde, Népal, Asie du Sud Est, Nouvelle Zélande et Japon, c’est un grand virage que nous effectuons pour commencer la deuxième grande partie de notre voyage : la traversée de l’Asie Centrale.
Point de départ? Dans un tout petit pays, bien souvent oublié de tous ; l’Armenie. Tout petit pays que l’histoire n’a pas épargné... petit pays, à la charnière entre le monde occidental et oriental, où passait la longue caravane de la route de la soie. Petit pays, coincé et ballotté entre l’empire Ottoman, Perse et Russe (URSS), où les influences de ces différents ballotages sont encore visibles. Enfin petit pays, martyrisé par l’histoire, qui tente de préserver son identité et de reconstruire son patrimoine détruit par la folie humaine ( genocyde de 1915). Alors il aurait été bien dommage de ne pas venir dans ce petit pays qui a tant de choses à nous apprendre, sous l’unique prétexte que sur la carte du monde il est à peine visible !! C’est donc sous l’œil bienveillant du Mont Ararat, de monastères en monastères,que nous allons traverser ce petit pays montagneux en direction du nord de l’Iran. Et qui dit traversée de l’Asie centrale, dit route de la soie et caravansérail...alors si la neige ne nous joue pas de vilain tour, en chemin nous nous aventurerons sur la route du col de Selim pour y admirer notre premier caranserail. |
Au pied du Mont Ararat
16-18 Avril
17 heures de vol, et c'est le changement radical. Atterrissant de nuit, par le hublot, les lumière d'Erevan et plus aucuns gratte-ciel démesurément illuminés à l'horizon! Mais surtout, au fil des rues piétonnes, au pied de l'imposante statue "Mother Armenia", dans le square de l'opera ou au milieu la place de la république, ce sont les bâtiments massifs à l'allure assurément sovietique qui nous font réaliser que nous avons tourné une page. A Erevan, l'ambiance est printanière; les café re-ouvrent terrasses, une ambiance bien calme qui nous fait oublier que nous sommes dans la capitale de l'Arménie. Au bout d'un jardin peuplé d’œuvres d'arts, un immense escalier de marbre (que les armenien, appelle Cascade) du haut duquel nous admirons le Mont Ararat encore bien enneigé... Cette vision hivernale serait-elle un signe; mais nous le comprendrons plus tard !
Ces jours là, quelque chose se trame: les bancs publics ont été déplacé au milieu des routes et les petits vieux y dissertent en savourant ce soleil printanier. Au pied de la cascade, la foule se rassemble dans le calme et la bonne humeur au son d'un excellent rock arménien. Jackie (notre hôte), nous explique que les arméniens manifestent contre leur trop vieux President qui s'accroche au pouvoir .. l'Arménie voudrait qu’un vent de renouveau souffle sur le pays ! Alors nous lui expliquons (de ce que nous avons cru comprendre depuis l’étranger) qu'en France le peuple aussi manifeste mais ironiquement « contre » le changement. Bref !
Avant de repartir d'Erevan, une visite inevitable. Perché sur une colline qui domine la ville et offre le plus beau des panorama sur le Mont Ararat, le musée du Génocide arménien va nous offrir une bien triste visite. Ce jour là, après plusieurs heures à lire des faits et des chiffres atroces, à regarder des photos inimaginables nous ressortons le moral brisé. Comment l'homme peut-il être aussi créatif pour faire souffrir et humilier ?!
Alors, c’est dans l’incompréhension totale que nous nous empressons de retourner à la Cascade et ce sera à une terasse de café non loin de l'effervescence de nos manifestants que nous retrouvons un peu notre bonne humeur...
17 heures de vol, et c'est le changement radical. Atterrissant de nuit, par le hublot, les lumière d'Erevan et plus aucuns gratte-ciel démesurément illuminés à l'horizon! Mais surtout, au fil des rues piétonnes, au pied de l'imposante statue "Mother Armenia", dans le square de l'opera ou au milieu la place de la république, ce sont les bâtiments massifs à l'allure assurément sovietique qui nous font réaliser que nous avons tourné une page. A Erevan, l'ambiance est printanière; les café re-ouvrent terrasses, une ambiance bien calme qui nous fait oublier que nous sommes dans la capitale de l'Arménie. Au bout d'un jardin peuplé d’œuvres d'arts, un immense escalier de marbre (que les armenien, appelle Cascade) du haut duquel nous admirons le Mont Ararat encore bien enneigé... Cette vision hivernale serait-elle un signe; mais nous le comprendrons plus tard !
Ces jours là, quelque chose se trame: les bancs publics ont été déplacé au milieu des routes et les petits vieux y dissertent en savourant ce soleil printanier. Au pied de la cascade, la foule se rassemble dans le calme et la bonne humeur au son d'un excellent rock arménien. Jackie (notre hôte), nous explique que les arméniens manifestent contre leur trop vieux President qui s'accroche au pouvoir .. l'Arménie voudrait qu’un vent de renouveau souffle sur le pays ! Alors nous lui expliquons (de ce que nous avons cru comprendre depuis l’étranger) qu'en France le peuple aussi manifeste mais ironiquement « contre » le changement. Bref !
Avant de repartir d'Erevan, une visite inevitable. Perché sur une colline qui domine la ville et offre le plus beau des panorama sur le Mont Ararat, le musée du Génocide arménien va nous offrir une bien triste visite. Ce jour là, après plusieurs heures à lire des faits et des chiffres atroces, à regarder des photos inimaginables nous ressortons le moral brisé. Comment l'homme peut-il être aussi créatif pour faire souffrir et humilier ?!
Alors, c’est dans l’incompréhension totale que nous nous empressons de retourner à la Cascade et ce sera à une terasse de café non loin de l'effervescence de nos manifestants que nous retrouvons un peu notre bonne humeur...
En route vers Selim
19-22 Avril
Sous un beau soleil printanier, on quitte Erevan et ses manifestations en direction du Temple de Garni et le Monastère de Geghard... la route devient vite une piste qui grimpe, grimpe et grimpe encore et la temperature chute, chute et chute. Donc quand au Monastère de Geghard la pluie arrive ... c' est une ambiance plutot hivernale que l'on retrouve ! La pluie n'en finit plus de tomber et un peu plus en attitude ce sont des flocons ... Alors, à peine remis en selle, nous voilà à patienter chez Sandra et Daisy (notre hôte et son adorable chienne) pour ne pas nous retrouver bloquer par la neige au pied du Col de Selim. Selon les prévisions, le col ne sera probablement pas franchissable avant lundi...
Le lendemain malgré la pluie qui tombe toujours de plus belle on part en direction du lac Sevan. Prenant de l'altitude, la pluie devient neige... et nous voilà complétement frigorifiés sur nos fidèles vélos...Nous trouverons consolation de cette rude journée en admirant le lac gelé. Le jour suivant, la neige cesse enfin de tomber, mais le vent reste glacial et les sommets qui encerclent le lac restent désespérément blancs. Il nous reste plus qu’à espérer que la météo dit vrai et que demain un beau soleil fera fondre neige et verglas en altitude...gardant espoir nous maintenons le cap vers Martuni.
Puis à quelques kilomètres de Martuni nous retrouvons les manifestations que nous pensions avoir laissé à Erevan: des hommes barrent la route. On s’avance, on slalome jusqu’à se retrouver face à un mur. Les arméniens épaules contre épaules nous barrent la route, et nous voilà très vite complètement encerclés.
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les arméniens (bien que se révélant toujours très gentil) sont des hommes trapus, au visage complètement fermé et dépourvu de sourires...après quelques minutes, le verdict tombe les « touristas » sont autorisés à passer. Et sur deux kilomètres nous nous offrons un bain de foule pour traverser cette manifestation créant l’animation de la journée. Nous ne savons toujours pas si la route du col est ouverte, mais une chose est sûr, nous sommes sur le Youtube de la manifestation de Martuni.
Sous un beau soleil printanier, on quitte Erevan et ses manifestations en direction du Temple de Garni et le Monastère de Geghard... la route devient vite une piste qui grimpe, grimpe et grimpe encore et la temperature chute, chute et chute. Donc quand au Monastère de Geghard la pluie arrive ... c' est une ambiance plutot hivernale que l'on retrouve ! La pluie n'en finit plus de tomber et un peu plus en attitude ce sont des flocons ... Alors, à peine remis en selle, nous voilà à patienter chez Sandra et Daisy (notre hôte et son adorable chienne) pour ne pas nous retrouver bloquer par la neige au pied du Col de Selim. Selon les prévisions, le col ne sera probablement pas franchissable avant lundi...
Le lendemain malgré la pluie qui tombe toujours de plus belle on part en direction du lac Sevan. Prenant de l'altitude, la pluie devient neige... et nous voilà complétement frigorifiés sur nos fidèles vélos...Nous trouverons consolation de cette rude journée en admirant le lac gelé. Le jour suivant, la neige cesse enfin de tomber, mais le vent reste glacial et les sommets qui encerclent le lac restent désespérément blancs. Il nous reste plus qu’à espérer que la météo dit vrai et que demain un beau soleil fera fondre neige et verglas en altitude...gardant espoir nous maintenons le cap vers Martuni.
Puis à quelques kilomètres de Martuni nous retrouvons les manifestations que nous pensions avoir laissé à Erevan: des hommes barrent la route. On s’avance, on slalome jusqu’à se retrouver face à un mur. Les arméniens épaules contre épaules nous barrent la route, et nous voilà très vite complètement encerclés.
Pour mieux comprendre, il faut savoir que les arméniens (bien que se révélant toujours très gentil) sont des hommes trapus, au visage complètement fermé et dépourvu de sourires...après quelques minutes, le verdict tombe les « touristas » sont autorisés à passer. Et sur deux kilomètres nous nous offrons un bain de foule pour traverser cette manifestation créant l’animation de la journée. Nous ne savons toujours pas si la route du col est ouverte, mais une chose est sûr, nous sommes sur le Youtube de la manifestation de Martuni.
Sprint contre les flocons
23 Avril
Grand beau, route ouverte, on s’élance sur la route du Col de Selim. En s’élevant petit à petit vers le col de Selim, on ne cesse de s’émerveiller de ces montagnes immaculées nous faisant presque oublier le froid des jours précédents.
Pari gagné, nous voilà récompensé de notre patience, col franchit. Et quelques kilomètres en contrebas, voilà tout ces efforts récompensés à la vue de notre premier caravansérail. Caravansérail, abris bien rustique où le réconfort devait être bien maigre. Drôle de vie que celle de ces marchands...
Enfin, ce premier col franchit on retrouve dans la vallée une ambiance plus printanière et lorsqu’on se retrouve perché sur les falaises du superbe monastère de Novarank on admire ces gorges spectaculaires et ces falaises rouges oubliant presque que l’autre côté de la montagne est immaculé.
Enfin ces jours passés nous font réaliser que nous sommes engagés dans un sprint contre les flocons et nous réalisons qu’il nous faut franchir les prochains cols qui mènent en Iran avant les prochaines chutes de neiges annoncées pour le vendredi....
Grand beau, route ouverte, on s’élance sur la route du Col de Selim. En s’élevant petit à petit vers le col de Selim, on ne cesse de s’émerveiller de ces montagnes immaculées nous faisant presque oublier le froid des jours précédents.
Pari gagné, nous voilà récompensé de notre patience, col franchit. Et quelques kilomètres en contrebas, voilà tout ces efforts récompensés à la vue de notre premier caravansérail. Caravansérail, abris bien rustique où le réconfort devait être bien maigre. Drôle de vie que celle de ces marchands...
Enfin, ce premier col franchit on retrouve dans la vallée une ambiance plus printanière et lorsqu’on se retrouve perché sur les falaises du superbe monastère de Novarank on admire ces gorges spectaculaires et ces falaises rouges oubliant presque que l’autre côté de la montagne est immaculé.
Enfin ces jours passés nous font réaliser que nous sommes engagés dans un sprint contre les flocons et nous réalisons qu’il nous faut franchir les prochains cols qui mènent en Iran avant les prochaines chutes de neiges annoncées pour le vendredi....
Novarank et Tatev
Au fil des kilomètres, les églises s’égrènent le long de la route dévoilant chacunes leurs charmes et suggèrant l’austérité de ces temps. Il y a le monastère de Gehgard qui surplombe les gorges de l’Azat, l’étrange site de Noratus et ses stèles gravées.... Mais surtout, après avoir franchit le Col de Selim, au bout de belles gorges nous arrivons à Novarank. Monastère haut perché aux allures inaccessibles où la vue est à couper le souffle, on en oublie que nous étions dans la neige quelques heures auparavant et tous les efforts pour accéder à ce site fabuleux! Un premier coup de cœur !
Un peu plus au sud, là encore, perché en haut d’un pic rocheux inaccessible, le monastère de Tatev. Notre deuxième coup de cœur !
Le charme de l’Arménie, c’est peut-être bien cela, des monastères dans un écrin de nature.
Un peu plus au sud, là encore, perché en haut d’un pic rocheux inaccessible, le monastère de Tatev. Notre deuxième coup de cœur !
Le charme de l’Arménie, c’est peut-être bien cela, des monastères dans un écrin de nature.
Le salaire de la peur
De nouvelles chutes de neiges prévues en altitude nous font craindre d’être bloqué au dernier col pour sortir de l’Arménie.... Alors, pour gagner la course contre les flocons, nous décidons de faire une infidélité à Tornado et Zebulon et rejoignons Tatev avec l’aide d’une jeep en ayant l’idée de continuer ensuite à notre petit rythme jusqu’à la frontière. L’idée semblait bonne mais l’histoire sera toute autre!
Tout commence quand, sortant de Yerevan, un molosse noir essaie de se faire les dents sur la roue de Zebulon.
Puis, très vite, kilomètres après kilomètres, le long de la route, des « gangs canins » semblent avoir tous avoir une haine démesurée pour le cycliste. Alors, au premier aboiement, tel au coup de sifflet, nous nous lançons dans des sprints effrénés pour échapper à ces molosses qui nous poursuivent tous crocs dehors. À force, alors que nous longeons le lac Sevan, lors d’un énièmes sprint, c’est le vol plané. Étrange comme la rage donne parfois d’excellents réflexes. De rage Éric se relève d’un bond pour « caillasser » nos assaillants. Heureusement pas de bobos ni de morsures, mais un Zebulon abîmé et une énième frayeur.
Changement de stratégie! Au vu de la rage démesurée que nos vélos provoquent, nous voilà à rouler aux pas, à guetter les molosses et à la première rencontre c’est au pas que nous passons. Nous troquons les sprints contre des jets de pierres ou des coups de bâton (merci le pied photo). Nous avons probablement tous une peur irraisonnée et irraisonnable inscrit en nous. Alors bien que l’un reste malgré tout philosophe, l’une commence à avoir les nerfs à fleur de peau.
Repartant de Tatev alors qu’il fait enfin beau et bon ; sur la route le manège canins recommence de plus bel. Le sentiment de peur enfle à chaque nouvelle rencontre.
Pour compléter le tableau, en repartant de Tatev, nous voilà contraint de prendre la seule et unique route pour le sud. Dommage, nous voilà à expérimenter la conduite à l’arménienne. Résultat des courses, sur le bas côté nos camarades les molosses, au milieu les camionneurs qui double à l’aveuglette et manquent de nous rouler dessus par la même occasion. Pour éviter l’embrassade avec un camion nous voilà des fois contraint de sauter dans les bas côté de la route... Ironie !
Alors, malgré que ce ne soit pas comme cela que l’on aime voyager c’est la décision radicale. On saute dans une voiture et on sort du pays au plus vite espérant retrouver le plaisir du pédalage de l’autre côté de la frontière.
L’histoire dira que de l’autre côté de la frontière la gente canine a disparu au grand bonheur de certaine.
Tout commence quand, sortant de Yerevan, un molosse noir essaie de se faire les dents sur la roue de Zebulon.
Puis, très vite, kilomètres après kilomètres, le long de la route, des « gangs canins » semblent avoir tous avoir une haine démesurée pour le cycliste. Alors, au premier aboiement, tel au coup de sifflet, nous nous lançons dans des sprints effrénés pour échapper à ces molosses qui nous poursuivent tous crocs dehors. À force, alors que nous longeons le lac Sevan, lors d’un énièmes sprint, c’est le vol plané. Étrange comme la rage donne parfois d’excellents réflexes. De rage Éric se relève d’un bond pour « caillasser » nos assaillants. Heureusement pas de bobos ni de morsures, mais un Zebulon abîmé et une énième frayeur.
Changement de stratégie! Au vu de la rage démesurée que nos vélos provoquent, nous voilà à rouler aux pas, à guetter les molosses et à la première rencontre c’est au pas que nous passons. Nous troquons les sprints contre des jets de pierres ou des coups de bâton (merci le pied photo). Nous avons probablement tous une peur irraisonnée et irraisonnable inscrit en nous. Alors bien que l’un reste malgré tout philosophe, l’une commence à avoir les nerfs à fleur de peau.
Repartant de Tatev alors qu’il fait enfin beau et bon ; sur la route le manège canins recommence de plus bel. Le sentiment de peur enfle à chaque nouvelle rencontre.
Pour compléter le tableau, en repartant de Tatev, nous voilà contraint de prendre la seule et unique route pour le sud. Dommage, nous voilà à expérimenter la conduite à l’arménienne. Résultat des courses, sur le bas côté nos camarades les molosses, au milieu les camionneurs qui double à l’aveuglette et manquent de nous rouler dessus par la même occasion. Pour éviter l’embrassade avec un camion nous voilà des fois contraint de sauter dans les bas côté de la route... Ironie !
Alors, malgré que ce ne soit pas comme cela que l’on aime voyager c’est la décision radicale. On saute dans une voiture et on sort du pays au plus vite espérant retrouver le plaisir du pédalage de l’autre côté de la frontière.
L’histoire dira que de l’autre côté de la frontière la gente canine a disparu au grand bonheur de certaine.
Armenie, mi-figue mi-raisin
25 Avril 18
Après avoir patiemment attendu que la douanière finisse de scruter à la loupe toutes les pages de nos passeport, nous quittons l’Arménie avec un sentiment partagé. Tout d’abord, bien que nous soyons probablement arrivés un peu trop tôt (d’un point de vu météo) et que cela nous aura un peu compliqué la tâche, l'inexistance de petites routes secondaires isolées et calmes, nous oblige à admettre que la meilleure manière de visiter l'Armenie est indéniablement PAS le vélo. Mais passons... En Armenie malgré leur apparence fermée voir bourrue, les Armenians se sont révélés être des gens charmants. Bien qu'ils n'auront eu de cesse de s'amuser de voir des touristes à vélo, leurs encouragements auront été nombreux. Peut-être sont-ils bien conscients qu’il n’y a pas un seul kilomètre à l’horizontal dans ce petit pays montagneux...? Petit pays montagneux qui nous aura offert de beaux panoramas sur des vallées encore trés préservées et de belles vues sur les hauts sommets enneigés, ainsi que ces églises qui se fondent dans le décor et embellissent ces vallées montagneuses. Enfin nous avons été seduit par Erevan, son art de rue, son atmosphère debonair et son allure indestructible des villes soviétiques.. Si nous devions résumer l’Armenie : De belles personnes dans un bien joli pays. Alors quel dommage que la gente canine est complètement gâtée notre plaisir! |